Le droit de vote à 16 ans ne coûte rien et n'enlève rien à personne. Son introduction n’apportera pas de changement radical. Mais pour les jeunes qui veulent cette participation politique, cela changera en revanche beaucoup : elles*ils se sentiraient mieux représenté*es et intégré*es.
La démocratie n'est pas quelque chose qui disparait progressivement quand on la partage. La vraie participation crée le bien commun. Pas souvent sans conflit, mais toujours plus efficacement que d’éventuelles alternatives. Celui qui fait participer les gens à la politique peut échouer. Celui qui ne fait pas participer les gens à la politique a déjà échoué. Le droit de vote à 16 ans est une expérience démocratique sans effets secondaires négatifs. Nous devrions oser !
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Intégrer les nouvelles générations
Les jeunes sont déjà politiquement actif*ves ! les jeunesses de parti enregistrent une croissance et des manifestations ou des grèves organisées par les jeunes pour défendre leurs intérêts. Il est nécessaire de donner une voix politique à ces jeunes engagé*es.
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Assurer l'équilibre de la démocratie
Notre politique vieillit. “Avenir Suisse” a calculé que d'ici 2035, l'âge moyen des votant*es continuera à augmenter et dépassera les 60 ans. Nous devons lutter contre le vieillissement de la démocratie.
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Garantir l'équité
Tous*tes les jeunes de 16 ans vont encore à l'école et la question de la démocratie peut y être thématisée. Cela garantit que ce n'est pas seulement au niveau du gymnase que les jeunes sont initié*es à notre système démocratique, mais bien à toute la génération.
